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Son titre (Au tribunal d’Alès, le forcené de la route du pont de Grabieux condamné) parle de lui-même.
Identifié sous la signature «d’anonymat
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Sachez que la date de parution est 2023-10-12 14:07:00.
L’article :
Souffrant de problèmes psychiatriques, l’homme avait mis le feu à son appartement.
Conformément aux réquisitions du ministère public, Bilel, 34 ans a été condamné à trois ans de prison dont deux avec sursis probatoire renforcé. Le tribunal a retenu l’altération de son discernement lors de l’audience de ce jeudi, devant le tribunal correctionnel d’Alès. Le condamné s’est aussi vu notifier une obligation de soins, tout comme l’interdiction de paraître à son ancien logement de la route du pont de Grabieux.
C’est en effet à cette adresse que, le 6 mai dernier, l’homme menace de tuer les policiers « avec une Kalach et de faire péter l’immeuble » après de nombreux appels malveillants et de menaces de mort.
Un peu plus tôt dans la journée, Bilel a déjà été placé en cellule pour ivresse publique et manifeste (IPM). Il s’est même présenté au poste en possession d’une bombe lacrymogène.
Finalement relâché, l’homme est rentré à son domicile, route du pont de Grabieux, où il a continué à ruminer sa colère.
L’altération du discernement retenue
Vers 5 heures du matin, une patrouille de police secours est envoyée à son adresse pour s’assurer que l’individu ne mette pas ses menaces à exécution.
Les six policiers prennent un bouclier de protection et forment une colonne d’assaut. Ils constatent alors une forte odeur de gaz et repèrent des flammes derrière la porte entrouverte d’un appartement.
Comprenant l’urgence de la situation et au mépris du danger, les policiers commencent à faire le tour des appartements afin d’évacuer les locataires. Une femme handicapée, une mère et son fils sont mis hors de danger.
Les policiers se portent ensuite devant le domicile du forcené qui a mélangé alcool et médicaments pour remplacer son traitement pour soigner des troubles psychiatriques. L’odeur de gaz devient de plus en plus présente.
Les agents entendent des cris d’un individu qui prétend qu’il a été séquestré par le résident. Ce dernier serait armé et aurait mis le feu au logement. Les fonctionnaires forcent la porte d’entrée, mais une bouteille de gaz, enflammée, bloque l’accès. L’individu retenu parvient tout de même à s’extraire de l’appartement.
Une fumée opaque commence à se former dans le bâtiment. Le forcené est retranché dans son salon avec un couteau à la main, ce que le prévenu nie à la barre du tribunal. À la vue des policiers, l’homme s’avance vers eux de manière menaçante, dans l’intention d’en découdre.
LBD et Taser pour interpeller le forcené
Un policier fait feu avec son lanceur de balle de défense (LBD). Le projectile touche le forcené à la poitrine. « Vous avez eu beaucoup de chance, lance la présidente du tribunal. Ils auraient très bien pu utiliser leurs armes de service ».
« On a frôlé la catastrophe, confirme Nathalie Welte pour le parquet. Sans le sang-froid des policiers, le forcené aurait pu être abattu. L’immeuble aurait très bien pu exploser aussi entraînant de nombreuses victimes. »
Pour immobiliser l’homme, et lui faire lâcher son arme, deux décharges de taser s’avèrent nécessaires. Le feu commençant à se propager au mobilier, l’homme est rapidement conduit à l’extérieur, où il est finalement menotté et pris en charge par les secours.
L’intervention des sapeurs-pompiers permet l’extinction rapide du sinistre. L’un d’eux constate :
« Le feu avait pris autour de la tête de la bouteille de gaz, elle aurait pu exploser à tout instant. »
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